Newsletter : En novembre on se la joue collectif !

La fourmilière est un collectif de sept journalistes pigistes spécialisés dans les enquêtes et les reportages long-formats. Chaque mois, nous travaillons sur une multitude de sujets, une multitude de projets. Certains nous marquent plus que d’autres. Chaque mois, nous vous proposons donc cette newsletter pour vous tenir informé de notre actualité !

(Crédit photo de couverture: Raphaël Fournier)

En novembre on se la joue collectif ! Déjà parce que La Fourmilière s’agrandit avec un nouveau membre : Simon Lambert, photojournaliste de 35 ans. Membre d’Haytham Pictures, il vit et travaille entre Paris et son sud-ouest natal. Mais avant de tomber dans la photo, il a d’abord été ingénieur du son dans le spectacle vivant et l’audiovisuel pendant une dizaine d’années, à Toulouse, puis Montréal et enfin Paris où il s’installe en 2009. En 2012, changement de cap, il intègre la formation de photojournalisme à l’EMI-CFD. Ces sujets favoris sont l’adolescence, la musique et la santé, ses compétences en technique du son et en photographie lui permettent d’être à l’aise dans les formats multimédias comme les diaporamas sonores. En ce moment, pour le site d’information Les Jours, avec Jeanne Boezec, ils sont allés à la rencontre d’un groupe de potes qui ne s’identifient ni en « F » ni en « M », qui ne disent ni « il » ni « elle » mais « iel ». « Je, tu, iel », une série en sons et en images qui raconte la fluidité des genres !

unnamed
Bienvenue à Simon Lambert !

Hélène Bielak aussi parle « collectif » dans les Echos Start. Elle est allée à la rencontre de geeks humanistes qui animent un fablab pas comme les autres. Apprendre à se réparer soi-même, une utopie ? A Rennes, le Humanlab le propose déjà. Les personnes atteintes d’un handicap y viennent pour améliorer leur quotidien à moindre coût : électrifier un fauteuil roulant, fabriquer un appui-tête rotatif ou même créer une main bionique.

C’est collectivement aussi que les habitants des bords du Golfe de Fos se battent pour faire reconnaître que la cohabitation avec les usines a des conséquences sur leur santé. Léonor Lumineau à la plume et Raphaël Fournier à la photo s’étaient établis quelques temps à Fos, l’une des plus grosses zones industriels d’Europe. À lire dans le Quatre Heures d’octobre.

Enfin Marion Perrier est allée à la rencontre de ces producteurs qui s’organisent pour gérer collectivement des points de vente directs. Car les circuits-courts c’est bien, mais ça peut aussi leur coûter cher. Pour mutualiser les dépenses et le temps de travail, certains agriculteurs ouvrent donc des supermarchés collaboratifs. Des commerces actuellement en plein essor à retrouver dans le numéro d’octobre d’Alternatives économiques.

suivez-nous