Les anciennes d’Amisol demandent justice

L’Humanité – Alors que le dernier patron d’Amisol, fermé en 1974, pourrait bénéficier ce vendredi d’un non-lieu dans une des affaires les plus emblématiques du scandale de  l’amiante, ses anciennes salariées veulent que sa responsabilité soit reconnue. Publié dans L’Humanité, le 8 février 2013