

Nouveau Nez (Socialter, avril-mai 2018)
Des huiles essentielles, de l’alcool de blé bio, des eaux florales… Les créations de ces nouvelles marques de parfum mettent à l’honneur les matières premières
Pigiste un jour, pigiste toujours, j’exerce en freelance depuis une dizaine d’années. Mon créneau : raconter l’économie sous toutes ses formes, questionner les modèles dominants et les transitions en cours, témoigner des luttes sociales et des alternatives écologiques.
J’aime me plonger dans les écrits de sociologues et d’économistes comme partir à la rencontre d’agriculteurs et agricultrices qui tentent d’inventer de nouveaux modèles ou tenter de décrypter les tenants et aboutissants des mécanismes de notre système fiscal… sans m’interdire quelques escapades pour raconter les secrets des métiers d’art ou de trésors gastronomiques.
Diplômée de l’IEP de Rennes et de l’Institut Français de Presse, je suis aujourd’hui basée à Tours mais garde un œil tourné vers ma Bretagne natale.
Je collabore régulièrement aux magazines Alternatives Economiques et Management et travaille pour l’agence Accroche Press’ et à l’occasion Libération, Causette, Connaissance des Arts ou Capital.
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Utilisant des techniques ancestrales pour créer des oeuvres contemporaines, Manuela Paul-Cavallier ouvre de nouveaux horizons à la dorure.
Les fabriques Simplon proposent des formations aux métiers du numérique, gratuites et accessibles sans prérequis.
Grâce à un accompagnement personnalisé et des solutions concrètes de déplacement, la plate-forme Wimoov favorise l’accès à l’emploi de ses bénéficiaires.
Lons-le-Saunier. Depuis 15 ans, la cuisine centrale communale contribue à la structuration des filières agricoles bio locales en leur offrant des débouchés.
Des sacs en cuir d’ananas, des baskets en peau de poisson, des vestes confectionnées à partir des champignons, etc. Ces dernières années, des alternatives au
Un nouveau mode d’élevage porcin a été mis en place, pour des raisons environnementales et économiques.
Regroupés dans Biolait, des éleveurs bio se sont organisés pour assurer leur indépendance par rapport aux laiteries traditionnelles.
A Toulouse, une association collecte les matériaux du bâtiment et du bricolage destinés à être jetés. Récupérés auprès des entreprises et des particuliers, ces rebus
A Blois, dans le Loir-et-Cher, une couveuse d’activités agricoles permet aux futurs paysans de tester la viabilité de leur projet de maraîchage bio. En toute
Promis, on ne mord pas !
Promis, on ne mord pas !