De nombreuses femmes ont profité du confinement pour arrêter de se maquiller, de s’épiler ou de porter des soutiens-gorge. Une façon de mesurer les diktats permanents qu’elles subissent en temps normal et de s’en libérer. Mais maintenant que la France est déconfinée ? Témoignages.
Le 16 mars dernier, Claire, jeune Parisienne de 33 ans, a vécu comme tous les français une situation inédite : elle s’est retrouvée bloquée chez elle, confinée. Mais outre l’enfermement, elle a vécu une autre expérience nouvelle : “en huit semaines, à l’abri de l’extérieur, je n’ai quasiment pas mis de soutien-gorge, moi qui en portait un tous les jours depuis que j’ai 12 ans ”, explique-t-elle. Encore plus inattendu de son point de vue: en discutant avec ses amies femmes lors d’un “coronapéro”, elle s’est rendue compte qu’elle n’était pas la seule.
Retrouvez la suite de cet article de Léonor Lumineau dans le Society n°133 de Juin 2020.