Confinée dans mon corps mais pas dans ma tête (Fisheye, mai 2020)

En période de confinement, le plus dur pour moi, légèrement hyperactive, a été l’enfermement. En parallèle, l’une des facultés de l’être humain que je trouve la plus incroyable est l’imagination, que beaucoup perdent d’ailleurs à mesure qu’ils vieillissent.

Je me suis donc dis que j’allais essayer de profiter de cette mesure de confinement pour travailler mon imagination qui, de mon côté aussi, a tendance à s’encrasser avec les soucis de la vie d’adulte. Dans mon appartement parisien de 45 mètres carrés, je me suis donc réinventé des petits mondes du quotidien pour garder le fil. Des semaines presque comme les autres quoi.

Une série photo à retrouver sur le  site de Fisheye ou sur le site internet de Léonor Lumineau.

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