Son nom est gravé dans la pop culture, scandé dans des chansons. Il a même servi d’inspiration pour le personnage d’un film. Car, aux yeux des stars du rap, le joaillier est un marqueur de réussite scintillant. Mais l’arrière-boutique de ce juif new-yorkais né en Ouzbékistan est moins reluisante.
Un portrait signé Margherita Nasi et Aureliano Tonet, à lire dans Le Monde.